Le port de Stanford

Les premiers rayons du soleil de printemps perçaient déjà doucement au travers des rideaux du palais Kazamno. Ce dernier, trônant au pied du volcan, imposait le respect et l’admiration pour les rires et la fierté d’une seule et unique jeune fille : La jeune et belle Tamako. Cette dernière ouvrait péniblement ses grands yeux, l’air un peu ennuyé par la beauté du soleil de cette journée. Elle étira ton son corps et se leva en baillant, chancelant jusqu’à sa fenêtre en vitraux pour mieux ouvrir les rideaux.
En quelques instants, la lumière s’infiltra dans la pièce et éblouie la jeune fille dans son kimono de nuit mauve dont les manches étaient remontées au coude, à cause de ses mains protégeant ses pauvres yeux vert-de-gris. Après ce bref instant, elle ouvrit la fenêtre pour humer le parfum acre de l’extérieur, ce parfum qui la poussaient presque aux larmes lorsqu’elle passait trop de temps à le sentir, ce seul parfum capable d’éveiller en elle les pires souvenirs. Puis, les larmes dans les yeux, elle traîna des pieds de façon disgracieuse jusqu’à la salle de bain, et y passa plus d’une heure entière, essayant des dizaines d’ensembles après son bain.
Elle en sortie enfin, cachée dans une robe mousseline rose et noire, avec des gants remontant presque à ses épaules et des talons bien trop haut pour s’accorder véritablement avec son corps d’enfant. Elle tourna sur elle-même avec un sourire nouveau sur les lèvres et se glissa dans l’immense salle à manger, s’installant seule au bout de la grande table en marbre. Elle fixa l’autre bout avec nostalgie, mais repris immédiatement un air doucereux et calme. N’ayant pas le temps d’attendre la moindre minute, la jeune fille commença à boire son chocolat aux noisettes, attaquant avec hargne ses toasts aux œufs. Tandis que la belle dévorait son tout premier repas de la journée, la jeune et jolie rousse qu’était Sophia entra, le plateau de courrier posé sur sa main tremblante. Elle approcha d’un pas fort peu assuré de sa majesté en lui tendant ses missives. Cette dernière la considéra d’un air déconcerté et déclara :

« Qu’attendez-vous pour les lire, Sophia ? »

La jeune employé les lut d’un air fort peu assuré, et termina par une missive, en ajoutant que cela pourrait être intéressant pour la majesté qu’était Tami de commencer sa visite du monde par là. La jeune et belle reine Glycine réfléchit longuement à l’information puis annonça sa décision de partir, immédiatement interrompue par Alséphanne :

« Majesté ! Cela serait beaucoup trop dangereux de partir ainsi ! Et que ferait Aragott sans vous ? »

La jeune reine soupira, et, constatant qu’elle avait terminé son petit déjeuner, se leva pour annoncer le plus calmement du monde :

« La protection de Dame Lilith sera certainement amplement suffisante, et il me semble que c’est à moi de prendre cette décision. Je pense que vous avez raison, Sophia, j’ai besoin de changer un peu d’air. Et au sujet du petit Aragott, je le prendrais avec moi, si cela l’inquiète tant de ne point me voir. Assurez-vous que mes bagages soient prêts pour e déjeuner, je partirais ensuite. Oh ! Et, j’allais oublier, prenez vos disposition pour que personne ne m’aperçoivent. Désormais, ayez l’obligeance d’arranger mon emploi du temps puis de m’en faire part au plus vite. En attendant, je vais prendre quelques leçons de piano. »

La nouvelle riche se retira pour le restant de la matinée, s’enfermant avec son professeur dans son boudoir, enchaînant les cours de piano avec ceux d’histoire et de mathématiques. Ce n’est que sur les coups de midi qu’elle s’en alla avec sa jeune employée de cuisine et son très cher fils adoptif, décidément effrayé de découvrir un monde différent que la petit mais paisible royaume conçu par et pour sa nouvelle mère.

[…]

Le soleil était déjà en train de retomber se cacher lorsqu’un étrange groupe de personne s’arrêta au port. Il y avait cinq ou six soldats, une jeune femme armée et une étrange boite avec des roues. Cette dernière était assez large et principalement décorée de motifs fleuris. Sur les épaules de chaque soldat s’imprimait un étrange symbole, reproduit sur les roues de l’étrange véhicule, donnant l’impression d’avoir à faire à un petit gang. Soudain, le box s’ouvrit, laissant sortit une jeune femme rousse avec deux nattes, dans une robe de laine blanche et d’épais collant noir, et un petit garçon, habillé comme pour se rendre à une réception. La femme s’approcha du marin se tenant en face de l’embarcation de bois et lui intima d’un air à accorder confiance :

« Bonjour à vous. Je me nomme Tamako Kazamno, et je suis la nouvelle propriétaire de la mine de Kazam. Aussi, j’aimerais me rendre à l’île de Grundoff au plus vite avec mon jeune fils et mon escorte. »

Après un silence presque pesant, la jeune femme poursuivit :

« Il reste une jeune fille dans la calèche, mais, étant d’une constitution fragile, elle ne peut se permettre de sortir… Nous aimerions l’emmener avec nous… En fait, nous avons vu l’annonce et avons pensé que nous pourrions en faire d’une pierre deux coups, vous comprenez ? Et de plus, nous avons certainement de quoi vous payer… »

Le petit garçon resta caché derrière la jeune femme au teint pâlichon d’un petit air effrayé.

Le bateau de bois était déjà remplis de quelque aventurier, cela se deviner aux divers sac et matériel qui était jonché sur le plancher du navire. Celui-ci était allumer de partout par diverse guirlande, le soleil commencer tout juste a se coucher, l'air marin était doux presque inhabituel pour une fin d'hivers. Le vieux Jim sourit à la jeune femme, il était plutôt haut et relativement gras ses cheveux grisonnant indiquer qu'il était dans le début de la vieillesse. Il porter un pantalon de jean brut, des bottes de cuir noir et un pull rayer de bande horizontale bleue et blanche. Celui-ci accentuer encore plus sa bedaine, l'homme fumer tranquillement et porter un casquette noir qui cachait le haut de son crâne. Son épaisse barbe grise comporté plusieurs poil d'un noir charbon. Jim fit signe à la jeune femme de prendre ses quartiers sans dire un mot on aurait plus croire qu'il était muet mais une fois le pied sur son rafiot, il décochât un « Soyez les bienvenue sur mon navire si vous avez besoin de quoi que se soit n'hésitez nullement jeune aventurière ». La première chose que l'on pouvait voir était l’acrobate qui se jouer de la gravité sur les barrières du bateau. Celle-ci s’amuser a jouer les saltimbanque en fessant diverse figure et saut sur une barrière qui semblait avoir bien vécu et qui supporter mal les mouvement de la jeune acrobate. Quelque fenêtre c'était ouverte lorsque le marin avait prononcer les paroles de bienvenue mais se refermait aussi tôt comme si votre présence ne les importer que très peu.

"Vous !"dit Eric en voyant la jeune femme qu'il venait de quitter avant même qu'il puisse parler de nouveau son père l’interpella "fils va au salle des machines, maintenant ! Nous avons du retard". Le jeune homme disparut dans le bateau et la cloche de départ retentissait, l'aventure pouvait enfin commencer. L’acrobate s’assit alors sur son perchoir et s'adressa aux jeunes femme et au jeune homme qui n'avait toujours pas bouger du pont. "Bonjour je me nomme Vulaye, j'espère que l'on s'entendra" dit-elle avec un large sourire; la brune était svelte et de taille normal pour une femme, ses yeux ambres contrasté avec son teint blafard et ses tâches de rousseur sur ses pommette. Elle était habillé d'un pourpoint noir et jaune et d'un leggins noir qui rentré dans ses bottine en cuir

la jeune acrobate lui répondis que le reste du monde était sinistre et horrible, que même les choses qui paraisse belle on un fond de ténèbres. Elle gardait un sourire tout le long de son discours macabre et noir,ses traits ne montrer ni douleur ni tristesse elle était rayonnante. A la fin de son intervention, elle remercia son interlocutrice de sa réflexion sur son art qu'elle qualifier plus de déformation professionnel qu'autre chose. Par pur curiosité elle posa la question qui la titillé depuis un moment "de quoi souffre votre amie pour qu'elle ne puisse pas sortir ?".

La jeune femme c'était assis sur une chaise, elle avait un visage songeur et fermé. Depuis les premières mots de sa déesse, la jeune général ne pouvait s'empêcher de réfléchir aux diverses scénarios possible surtout aux pires d'entre eux. La jeune femme savait que cette quête n'était qu'une misérable tentative de trouver des informations sur sa reine. Néanmoins elle ne voulais que plaire a sa reine et lâcha un «soite mais vous ne me quitterait pas car votre vie peut s'avérer être en danger nous ne savons pas ce que mijote le gouvernement»

La jeune acrobate voyait bien que la conversation gêner la jeune femme mais elle s'en moquer, elle ajouta qu'elle était natif de cette île maudite elle arborait presque un sourire sadique. Elle ne semblais pas triste du sort de son île de naissance ou même de la gêne de la jeune femme au vu de sa description macabre du monde. Elle finit pas lui demander ce qu'elle savait du sort de son île.

"En effet, c'est exact vous voyez ce symbole...." dit-elle en lui montrant son tatouage, celui-ci ressemblais un cercle étrange on pouvait distinguer une tête de loup "... c'est le même symbole qu'ils ont trouver sur ses pierres, malheureusement pour moi je ne sais absolument pas d’où il provient et cela me traquasse" son sourire commençait doucement a s'effacer lorsqu'un individu interrompis leurs discutions. "Si je puis me permettre de vous interrompre, mon nom est Ailaye je suis ravie de vous rencontré", la petite fille d'une quinzaine d'année était relativement petite et fine pour son âge, elle dissimuler son corps sous un épais sweat à capuche rouge vif, sur lequel était inscrit Deamon en lettre noir. Elle porter un jean quelque peu troué sur les genoux et des baskets rouges qu'elle ne semble pas aimée nouée. Ses yeux bleue ciel contrasté avec ses cheveux blond vénitien et son teint blanc nacré.

Ceci est la représentation du tatouage de l’acrobate.

La jeune femme arborer un fière sourire à la vue de l'enthousiasme de sa reine. Lorsqu'elle vit la petite fille sur le pont elle plaça son bras sur la trajectoire de sa reine et fit un bond en avant pour protéger sa déesse de la jeune fille qu'elle avait déjà rencontré sur les diverses affiches qui demandé sa tête contre une somme d'argent plus que raisonnable.

La petite fille surprise de la réactions de la général sourit et fit une simple révérence. Elle resta figé penché vers l'avant et se propulsa avec une grande vitesse sur la général son objectif était de frappé violemment le genou de celle-ci afin de le briser. Néanmoins , la petite fille fut stopper par notre acrobate en chef. Celle-ci avait attrapé la jeune fille dans sa course et lui avait sangler les pieds , elle la trainée vers une chambre toute en s'excusant du manque de délicatesse de son amie.

Mushu étais près a réagir en une fraction de seconde mais l'acrobate l'avais finalement pris de court, mais cela ne prouvais pour lui que deux choses:
-Premièrement comme il s'en doutais ces deux là se connaissaient et voyageais probablement ensemble.
-Deuxièmement Ailaye est dangereuse et l'acrobate probablement aussi.
il ne pu s’empêcher soupirer. (Quand je pense que l'on en est qu'au départ cette histoire pourrais devenir plus dangereuse que prévu j'ais intérêt a rester sur mes gardes)

Une femme d'une vingtaine d'années surpris l'assemblée en apparaissant dans le dos de celle-ci. Elle était grande et svelte, elle était habillé de gris, une robe grise le tissu semblait avoir été cousus par quelqu'un de très talentueux, elle était fermé par une ceinture de tissu gris au bord rouge   d'une rare qualité , elle porter des gants gris qui lui arriver jusqu'au dessus du coude, il était recouvert de motif rose représentant une sorte de glyffe étrange, elle porter également des bottines noires. Elle caché ses cheveux blanc et ses yeux rouges sang sous un chapeau gris digne d'un cliché de sorcière. Son visage était doux et fin et donner l'impression d'avoir une personne malicieuse et joyeuses. Sur son bras gauche figuraient un phénix qui a chaque fois qu'elle usé de ses pouvoirs émettait une vive lumière rouge. La jeune femme ce fit remarqué en claquant des doigts et en fessant sortir de ses doigts une gerbe de flamme bleue turquoise. «Vous êtes trop habituée à vos logements de faste pour exécuter une mission qui vous obligera à plonger les mains dans la boue... Le sale boulot sera encore fais par nous et vous en récolterez toute la gloire... foutue gouvernement....» dit elle avec un peu d'amertume dans le son de sa voix. Une aura très chaude l'entourée et les rois et reines proches distinguait clairement le phénix rouges vif que son aura formé, c'était un rois cela ne fessait aucun doute.

L'aura alourdi l'air et prend de plus en plus d'espace, la jeune femme sourit et ses flammes commence à grandir doucement. «veuillez excuser mon impolitesse je suis la reine rouge et je suis ici pour tuer tout les agents du gouvernement et retrouvez mon bras droit dans cette foutue île» dit elle avec un ton très sec. «vous...» ajouta t'elle en créant un mur de flamme sur le chemin de la jeune général «...vous n'irait nul part comme vous je ne laisserais aucun survivant sur ce bateaux» ses yeux montré de la haine et des larmes commencer à faire surface.

La femme arbore un sourire son aura se calme et ses flammes diminue. «vous m'excuserez mais vous ne pouvez pas comprendre mon rôle j'ai un peuple à protéger vous vous êtes à la recherche d'argent ou de reconnaissance voir même de combat. Que c'est insignifiant chercher plutôt à trouver une personne à protéger quelqu'un à qui vous pouvez confier votre vie et à qui vous pouvez montré votre vrai visage sans avoir peur qu'elle ne fuit par peur ou par dégoût» dit elle en larmoyant, elle rentra alors dans sa chambre une fois la porte de celle-ci fermé l'air repris son air frais et les flammes avait complètement disparu on ne voyais même pas les traces de leurs passages. Jim arriva est dit « c'est donc cela un rois c'est la première fois que j'en rencontre un cela est assez intéressant je trouve et bien loin des descriptions du gouvernement je trouve»